Dernière balade dans le désert
Nous voici repartis tous les 2 dans le désert, mais cette fois-ci en moto.
Après avoir traversé et pris en contre sens la nouvelle route reliant Safaga à Marsa Alam (l’autoroute), nous empruntons une piste tracée par les nombreux camions et bulldozers qui ont permis la construction des édifices de renfort pour cette nouvelle voie de circulation.
Par définition, les coraux sont des colonies de polypes qui se regroupent pour former des superorganismes. Lorsque les coraux se forment, c’est une multitude de polypes qui s’assemblent afin de créer un squelette calcaire grandissant, selon l’espèce de corail, de plusieurs millimètres à plusieurs dizaines de centimètres par an. Les algues alimentent régulièrement ces polypes en oxygène et autres nutriments leur procurant ces belles palettes de couleurs caractéristiques.
Aujourd’hui, pas de sortie « cailloux » car nous avons été invités par nos propriétaires et amis, Aza et Ahmed, à partager leur repas du vendredi avec toute la famille.
En attendant l’heure d’aller manger, 15h !!!, nous profitons des derniers rayons de soleil dans notre jardin tout en buvant un thé. Notre estomac commence à crier famille et les odeurs s’échappant de la cuisine d’Aza n’arrange rien.
Aujourd’hui, direction le sud pour ma petite prospection journalière. Pas très loin quand même, juste à la sortie de Quseir, après anciennement l’hôtel Fanatir racheté et réouvert dernièrement sous le nom de Dolphin Hotel.
Nous voilà donc sur ce petit morceau de plage entre le Fanadir (je préfère l’ancien nom) et le petit village surplombant la mer : mon barbu s’occupant à faire des ricochets et moi le nez au niveau du sol cherchant la pièce rare.